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  • Lifting des cuisses Guadeloupe

Lifting des cuisses
en Guadeloupe, Saint-Barthélémy et Saint-Martin

La peau de l’intérieur des cuisses est fine et ses fibres élastiques fragiles. Elle est donc rapidement dégradée par le vieillissement naturel ou par les variations pondérales. Cette dégradation est souvent mal vécue et la demande de réparation est donc forte.

Au problème de l’excès de peau s’associe souvent le problème d’un excès de graisse localisé à ce niveau. L’augmentation de son volume peut devenir gênant à la marche à cause du frottement.

Lorsqu’il existe un relâchement de la peau au niveau de la face interne des cuisses, une lipoaspiration isolée ne peut suffire et seule une remise en tension de cette peau est susceptible de corriger ce défaut : c’est le lifting crural ou cruroplastie ou lifting de la face interne de la cuisse.

 Fiche info

Bon à savoir


Pour qui

Tout public après 40 ans


Durée de l'hospitalisation

Ambulatoire


Durée de l'intervention

2 à 3 heures


Tarifs

4500 à 6500 €

Modalités, le déroulement


Un bilan préopératoire habituel est réalisé conformément aux prescriptions.

Le médecin anesthésiste sera vu en consultation au plus tard 48 heures avant l’intervention.

Aucun médicament contenant de l’aspirine ne devra être pris dans les 10 jours précédant l’intervention.

Une préparation cutanée (type savon antiseptique) est habituellement recommandée la veille et le matin de l’intervention.

TYPE D’ANESTHÉSIE ET MODALITÉS D’HOSPITALISATION


Type d’anesthésie : Le lifting de la face interne des cuisses peut être réalisé sous anesthésie générale.

Modalités d’hospitalisation : La durée d’hospitalisation sera en moyenne de 1 jour.

En fin d’intervention, on réalise un pansement à l’aide de bandes élastiques collantes ou bien on met en place un panty de liposuccion.

APRÈS L’INTERVENTION : LES SUITES OPÉRATOIRES


La sortie pourra intervenir en règle générale le lendemain ou le surlendemain de l’intervention.

Dans les suites opératoires, des ecchymoses (bleus) et un œdème (gonflement) peuvent apparaître. Ils régresseront pour l’essentiel dans les 10 à 20 jours suivant l’intervention.

Les douleurs sont en règle générale, supportables, avec un traitement adapté, à type de courbatures, de tiraillements ou d’élancements.

Dans tous les cas, il s’agit d’une chirurgie un peu invalidante car il y a gêne à la marche simplement à cause de la topographie des zones opérées.

La cicatrice est située au fond d’un profond sillon dans lequel il y a de l’humidité. La cicatrisation est donc toujours un peu plus longue qu’ailleurs en zone sèche. Durant cette période, il conviendra d’éviter tout mouvement d’étirement brutal comme par exemple en s’asseyant.

Il y a lieu de prévoir un arrêt de travail de 1 à 3 semaines, en fonction de la nature de l’activité professionnelle.

La pratique d’une activité sportive pourra être reprise progressivement à partir de la 6ème semaine post-opératoire.

La cicatrice est souvent rosée pendant les 3 premiers mois puis elle s’estompe en règle générale après le 3ème mois, et ce, progressivement pendant 1 à 3 ans. Elle ne doit pas être exposée au soleil ni aux UV avant 3 mois.

Principes


On peut retenir des principes de base communs.

Les techniques modernes sont moins agressives. Elles respectent beaucoup mieux l’architecture des tissus et notamment les vaisseaux lymphatiques et sanguins. Ceci permet de diminuer le taux de complications. La quasi absence d’écoulement post-opératoire permet de se passer de drain ce qui est d’un grand confort.

Une lipoaspiration est associée chaque fois qu’il existe une infiltration adipeuse de la région.

De l’examen de la peau découle 3 types d’opération :

  • Technique horizontale pure : On l’utilise lorsque l’excès en longueur est prédominant. Il se traite en tirant la peau vers le haut « comme on remonte un pantalon ». La cicatrice part du pli de l’aine. Elle se prolonge ensuite dans le sillon entre le périnée et le haut de la face interne de la cuisse, et se poursuit en arrière jusqu’au pli fessier où elle se termine. Dans cette technique, la traction est verticale. Pour éviter que la cicatrice ne redescende, le chirurgien doit fixer de la peau en profondeur au ligament situé en haut de la face interne de la cuisse.
  • Technique verticale pure : L’excès en largeur est prédominant et se traite « comme on rétrécit un pantalon ». La cicatrice verticale est située le long de l’intérieur de la cuisse. Elle est plus ou moins longue (et donc plus ou moins visible) suivant l’importance de l’excès de peau. Elle peut donc être limitée au tiers supérieur de la cuisse et dans ce cas elle est très discrète. Lorsque l’excès est important, comme après une perte de poids massive par exemple, elle peut descendre jusqu’au genou. Il n’y a pas besoin de fixation de la peau au ligament car la traction est horizontale.
  • Technique mixte : les deux techniques sont souvent associées lorsqu’il y a présence des deux excès de peau. On obtient ainsi une cicatrice en L inversée ou en T.
Docteur Richard RIAHI, chirurgien esthétique

Le mot du Dr. Richard RIAHI

Il s’agit d’une chirurgie qui s’adresse aux problèmes importants car la cicatrice restera visible et constituera un problème acceptable pour les patients avec une cuisse abimée au départ.

N'hésitez pas à nous contacter pour toute information
Lifting des cuisses

Dr. Richard Riahi, membre des sociétés savantes
Société Française de Chirurgie Plastique, Reconstructrice et Esthétique
Société Française des Chirurgiens Esthétiques Plasticiens
Syndicat National de Chirurgie Plastique Reconstructrice et Esthétique
International Society of Aesthetic Plastic Surgery